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Posted Wednesday, March 5, 2008

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This material from Robert Faurisson reports among other things that the father of Misha Defonseca (the wolf girl) ratted out his former comrades to the Gestapo after his own arrest, and even helped interrogate them. She says she knew nothing of this. De plus en plus carabiné. A lire jusqu'au bout. RF

Le Soir


Brussels, Belgium, March 2, 2008

 

authoressLe Soir (de Bruxelles) du 28 février au 2 mars 2008

"Le père de Misha Defonseca a aidé la Gestapo"

"Survivre avec les loups", une supercherie avouée (lesoir.be)

BRUXELLES 28/02 (BELGA) = Misha Defonseca, (Photo), l'auteure contestée du livre "Survivre avec les loups", a avoué jeudi que l'histoire de son épopée à travers les forêts d'Europe qu'elle aurait parcourues en 1941 avec une meute de loups n'est qu'une oeuvre de fiction, et non pas un récit autobiographique comme elle le prétendait depuis dix ans, révèle Le Soir sur son site internet. Misha Defonseca a mis fin à une vive polémique. "Je me suis raconté une vie, une autre vie. Je demande pardon", a-t-elle déclaré. Face à des preuves irréfutables, rassemblant notamment la biographie de résistant de son père et le témoignage confondant d'une de ses cousines retrouvées à Bruxelles, Misha Defonseca a avoué. Depuis de nombreuses années, Misha Defonseca, n'avait de cesse de s'affirmer juive et de proclamer la réalité de son histoire, en dépit de nombreuses critiques soulevées par les historiens. Le livre "autobiographique" de Misha Defonseca a été adapté dans un film éponyme, réalisé par Vera Belmont, que plus de 6 millions de spectateurs ont déjà vu. Il devrait être présenté la semaine prochaine en Allemagne./.DAD/TAS

 

"Survivre avec les loups": Réactions de l'éditeur et de la cinéaste

PARIS/BRUXELLES 29/02 (AFP-BELGA) = L'éditeur français Bernard Fixot a déclaré vendredi que sa maison d'édition ne pouvait pas "laisser en l'état" le livre "Survivre avec les Loups", au lendemain des déclarations de son auteure belge Misha Defonseca reconnaissant avoir imaginé l'histoire. Bernard Fixot, propriétaire des droits mondiaux du livre, a déclaré sur la radio RTL qu'une réunion allait se tenir ce vendredi aux éditions XO pour étudier les conséquences de cette affaire.

De son côté, la cinéaste française Véra Belmont, qui a réalisé le film "Survivre avec les loups", "en veut un tout petit peu" à l'auteure du livre, tout en ajoutant "avoir mal au coeur pour elle". Jeudi, le quotidien belge Le Soir a publié une déclaration de Misha Defonseca dans laquelle elle a reconnu que son histoire présentée comme authentique, celle d'une petite Juive partant à la recherche de ses parents pendant la Seconde Guerre mondiale, et adoptée par des loups lors de son périple de 3.000 kilomètres, était inventée. Pour Bernard Fixot, il s'agit "toujours d'une très belle histoire, c'est un roman. Evidemment, c'est tromper les gens de dire que c'est une histoire vraie".

"On ne peut pas laisser (le livre) en l'état", a-t-il dit. "J'ai posé des questions à Misha il y a longtemps, en 1995. Cela m'intéressait de savoir comment elle avait survécu (...) Ces histoires de loups, bien sûr que cela m'a beaucoup étonné et en même temps, des histoires d'enfants loups il y en avait beaucoup", a ajouté M. Fixot "Je connaissais très bien Misha. J'avais vraiment confiance. Quand on publie des documents on ne vérifie pas tout. On vérifie quand ça peut causer du tort à d'autres gens. Là, à personne. C'était une très belle histoire qui ne causait du tort qu'aux nazis", a-t-il ajouté, avant d'affirmer qu'il ne poursuivrait pas en justice l'auteure belge.

"Elle va payer très cher tout cela. Je me sens coupable de ne pas avoir tout vérifié. Mon métier d'éditeur, c'est de donner la parole aux gens. Si je ne les crois pas, je ne fais pas le livre. Quand j'adhère à leur histoire je fais le livre", a-t-il conclu. Pour sa part, Mme Belmont a déclaré qu'elle en voulait "un tout petit peu" à l'auteure du livre. "Mais elle s'est construit un truc, comme des garde-fous pour ne pas sombrer. Alors j'ai mal au coeur pour elle", a-t-elle ajouté. La réalisatrice affirme ne jamais avoir eu de doute sur la prétendue judéité de Mme Defonseca, mais ne pas avoir entièrement cru au reste de son histoire de périple avec les loups.

"C'est difficile d'être juif, alors pas une seconde je n'ai pensé que quelqu'un endosse ce vêtement", a-t-elle indiqué. "Le reste, il y a des choses qui me paraissaient comme chez les enfants, comme dans ma propre mémoire, avec des choses vraies et d'autres au sujet desquelles je suis sûre d'avoir affabulé". "Si elle m'avait dit la vérité, je l'aurais fait quand même (l'adaptation, ndlr) parce que, étant moi-même juive et voulant parler de cette époque, je ne pouvais pas en parler frontalement", a-t-elle ajouté. "Donc je me suis servie de cette enfant qui cherche ses parents comme nous avons cherché nos parents pendant la guerre, a-t-elle poursuivi. C'est comme Polanski avec Le pianiste: il a cherché un pianiste pour pouvoir parler de lui dans le ghetto de Varsovie. C'est trop douloureux: on ne peut pas l'affronter comme ça". La réalisatrice a précisé que la mention "D'après l'histoire vraie" allait être retirée du générique du film, qui est toujours à l'affiche. ./.MPK


Survivre avec les loups, dernière des grandes impostures littéraires

PARIS 29/02 (AFP) = Canulars, manipulations ou dédoublements de la personnalité : l'histoire de Misha Defonseca, qui a avoué avoir inventé le récit de son best-seller "Survivre avec les loups", est la dernière en date d'une longue série d'impostures, drôles ou tragiques, dans le monde de l'édition. Des faux Carnets d'Hitler vendus en 1983 par le génial faussaire Konrad Kujau, au témoignage bidon d'un toxicomane écoulés à trois millions d'exemplaires aux Etats-Unis, les exemples se comptent par dizaines.

La littérature, royaume du faux-semblant, est le terrain par excellence du mensonge, dont l'affaire Gary-Ajar reste l'exemple parfait. En 1975, Romain Gary obtient une seconde fois le Prix Goncourt pour "La vie devant soi", superbe roman écrit sous le pseudonyme d'Emile Ajar. Mais le mystification tourne mal et Gary, déboussolé, se suicidera cinq ans plus tard. Si le romancier peut à peu près tout se permettre, l'affaire se complique quand, comme dans le cas de Misha Defonseca, le récit est présenté comme authentique. "Evidemment, c'est tromper les gens de dire que c'est une histoire vraie", soulignait vendredi l'éditeur Bernard Fixot, détenteur des droits mondiaux de "Survivre avec les loups".

En avril 2003 paraît aux Etats-Unis "Mille morceaux", confession trash d'un toxicomane. Mais un site d'investigation démontre bientôt que l'auteur James Frey n'a jamais dealer, jamais fait de prison... et que son témoignage est largement inventé. Ce que Frei finira par admettre. Imposture également, le récit "autobiographique" de J.T. Leroy, jeune prostitué travesti, paru en 2000 toujours aux Etats-Unis. La presse montrera que Leroy n'est pas l'auteur du livre et qu'il ne s'agit que d'une comédie pour faire de l'argent.

Comme pour "Survivre avec les loups", le nazisme et la persécution des Juifs a donné lieu à d'étranges manipulations. En 1993, une dénommée Helen Demidenko publie en Australie un récit présenté comme un témoignage sur deux frères ukrainiens enrolés dans les SS avant de se réfugier en Australie. Mais le récit, plusieurs fois primés, se révèlera entièrement faux. Comme étaient faux les souvenirs d'enfance de Benjamin Wilkomirski dans le camp de Majdanek (Pologne) pendant la Seconde guerre mondiale, parus en 1995 en Suisse et traduits dans une douzaine de langues. Escrocs, manipulateurs, mythomanes ? Les motivations sont aussi nombreuses que les faussaires et les affabulateurs. "Depuis toujours, je me suis sentie juive", a expliqué Misha Defonseca/De Wael, 70 ans, dont l'histoire d'enfant fuyant les nazis recueillie par les loups avait pourtant suscité beaucoup d'interrogations.

Mais pour Philippe Di Folco, auteur en 2006 d'un livre sur "Les grandes impostures littéraires" (Ecriture), "un succès de librairie qui assène des inepties sur tel ou tel sujet ne peut exister qu'avec la complicité d'un public disposé à gober une illusion de savoir". "Convenons-en, conclut-il: nous, lectrices et lecteurs, aimons parfois nous laisser berner"./.MPK

 

"Le père de Misha Defonseca a aidé la Gestapo" (Le Soir)

BRUXELLES 02/03 (BELGA) = Le père de Misha Defonseca, Robert De Wael, a vendu à la Gestapo les membres du réseau de résistance "Grenadiers", auquel il appartint brièvement au début de la guerre, afin de pouvoir voir sa fille, révèle le quotidien Le Soir dimanche sur son site internet. Dans le livre faussement autobiographique "Survivre avec les loups" et le film du même nom, Misha Defonseca racontait avoir voulu retrouver ses "parents juifs" en parcourant les forêts d'Europe de l'Est. Arrêté le 23 septembre 1941, Robert De Wael se vit offrir un marché par les nazis: "le bénéfice de visites de sa fille Monique De Wael (alias Misha Defonseca) contre les noms des membres de son groupe. Il participa aux interrogatoires de ses compagnons d'armes trahis en compagnie des Allemands. Plusieurs d'entre eux furent déportés et moururent dans les camps", indique Le Soir. A l'issue de la guerre, la Sûreté de l'Etat et l'auditorat militaire de Bruxelles ouvrirent un dossier à sa charge. Son nom fut rayé des listes de prisonniers politiques. Le service des Victimes de guerre refusa de le reconnaître comme résistant. "Le nom de Robert De Wael fut rayé, ignominie suprême, de la stèle de pierre qui rend hommage, sur les murs de la Maison communale de Schaerbeek, à ses fonctionnaires tombés pendant la guerre", ajoute Le Soir sur son site internet, précisant que ces révélations s'appuient sur le témoignage de contemporains de Robert De Wael et sur l'histoire documentée du Groupement Grenadiers de l'écrivain Jean-Philippe Tondeur. Informée, Misha Defonseca a déclaré tout ignorer de ce passé familial./.FLO/CHN

 

 

 

Le sombre passé du père de Misha

Publié le Dimanche 2 mars 2008

METDEPENNINGEN, MARC

EXCLUSIF -- Dans ses éditions datées de lundi, « Le Soir » apporte de nouvelles révélations qui démontent définitivement la fausse « autobiographie » racontée par Misha Defonseca dans son livre « Survivre avec les loups » et le film éponyme réalisé par Vera Belmont. Son père, Robert De Wael, a vendu des résistants à la Gestapo pour voir sa fille.

Robert De Wael, le père de Misha Defonseca, la petite qui prétendait vouloir retrouver ses « parents juifs » en parcourant les forêts d'Europe de l'Est, a vendu à la Gestapo, la police allemande, les membres du réseau de résistance « Grenadiers » auquel il appartint brièvement au début de la guerre.

Arrêté le 23 septembre 1941, il se vit offrir un marché par les nazis : le bénéfice de visites de sa fille Monique Dewael (alias Misha Defonseca) contre les noms des membres de son groupe. Il participa aux interrogatoires de ses compagnons d'armes trahis en compagnie des Allemands. Plusieurs d'entre eux furent déportés et moururent dans les camps.

À l'issue de la guerre, la Sûreté de l'Etat et l'auditorat militaire de Bruxelles ouvrirent un dossier à charge de Robert De Wael. Son nom fut rayé des listes de prisonniers politiques. Le service des Victimes de guerre refusa de le reconnaître comme résistant. Une décision contre laquelle son père Ernest interjeta appel sans succès.

Le nom de Robert De Wael fut rayé, ignominie suprême, de la stèle de pierre qui rend hommage, sur les murs de la Maison communale de Schaerbeek (notre photo), à ses fonctionnaires tombés pendant la guerre.

The name of Robert de Wael, her father, has been chiselled off the memorial to local Resistance heroes. >>

Ces révélations s'appuient sur le témoignage de contemporains de Robert De Wael, retrouvés par « Le Soir » et sur l'histoire documentée du Groupement Grenadiers dû à l'écrivain Jean-Philippe Tondeur.

Misha Defonseca, à laquelle nous avons appris la nouvelle aux Etats-Unis, dans la nuit de samedi à dimanche nous a déclaré tout ignorer de ce passé familial. « Était-il vraiment un traître », s'est-elle interrogée.

Elle vivait une fiction avec les loups. Son père, lui, aidait les loups nazis.

La plaque commémorative aux agents communaux de Schaerbeek tués par les nazis. Le nom effacé était celui de Robert De Wael, le père de Misha Defonseca.. -- M.M.

Breny &endash; Le Soir

Our dossier on the origins of anti-Semitism
Wolf-girl ("The Nazis executed my parents as Resistance fighters"): documents show Her father squealed to the Gestapo
Author admits Holocaust wolf memoir "partly" made up | more, NPR | Boston Globe: "Ever since I can remember, I felt Jewish" | CNN, "Showbiz" | Wolf girl exposed as ASSHOL*. See Belgium's Le Soir - she spent the war as a schoolchild in Brussels | Deborah Lipstadt, embarrassed: "Turns out she is not even Jewish. People like this are beneath contempt." Wilkomirski redux, she recalls unashamed: Wilkomirski? Oh yes - Lipstadt had earnestly recommended W's Bumper Book of Holocaust Lies to her students: "When confronted with evidence that [Wilkomirski] is a fraud, she commented that the new revelations 'might complicate matters somewhat, but [the work] is still powerful.'"
 * Association of Spurious Survivors of the Holocaust
 

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